En repensant et remettant en perspective la pensée de la mort, cet ouvrage répond à une question centrale : « la grande question de vie et mort ».
Dans un langage accessible, cet ouvrage effectue un travail de déblaiement considérable. Là où nombre de livres sur le sujet de la mort restent prisonniers de croyances et de dogmes, celui-ci donne des repères conformes à l'état des connaissances scientifiques et anthropologiques.
Le procédé dialectique – éclairer la pensée occidentale au contrepoint de la chinoise et réciproquement – ici n'a rien d'emprisonnant, mais tout au contraire il consiste à se libérer de toute croyance, au profit d'une vision des choses telles quelles.
Trouver une pensée juste de la mort, c'est se libérer d'un accablant sentiment de finitude, laisser libre cours à la dynamique d'une vie en laquelle les questions existentielles les plus angoissantes ont disparu du fait qu'on en a montré le caractère de vanité.
L'intérêt majeur du livre est de livrer, sur un sujet souvent noyé dans les représentations conventionnelles une pensée longuement mûrie du fait de s'être confrontée aux représentations de l'ailleurs, Inde, Chine. En ce sens il contribue à l'analyse, et l'éclaircissement, du paradigme confus de notre époque, où l'incompréhension de la mort a atteint des sommets.
Véhicule d’une pensée profonde, cet ouvrage réponds aux questionnements les plus profonds de chacun d’entre nous.
224 pages – 18,50 €
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